Émissions
POLLUANTS DE L'AIR
Outre la poussière et les nuisances sonores, JURA Materials est notamment confronté dans le secteur du ciment aux défis liés posés par les émissions de polluants de l’air. Si la poussière et le bruit sont générés à différents stades du processus de production et peuvent être minimisés du mieux possible, les oxydes d’azote, de soufre et autres polluants de l’air sont notamment libérés par les fours. Nous contrôlons les émissions de ces polluants en permanence. Grâce à l’emploi de nouvelles techniques de filtration et de processus de production innovants, nous réduisons la production de polluants et ainsi l’impact de nos activités sur l’environnement et les riverains.
* dank Nachverbrennungsanlage:
En mars 2022, JURA CEMENT a mis en service l'installation de postcombustion à Wildegg. Avec cette usine, nous préservons les matières premières naturelles et les rares espaces de décharge en Suisse. En outre, l'air évacué de notre cheminée sera encore plus propre grâce à la postcombustion.
Pour minimiser la production de poussière, nous arrosons au besoin les voies de circulation de nos usines :
SECOUSSES
L’emploi de charges explosives pour l’extraction des blocs de rochers dans les carrières produit une série de secousses. Dans la plupart de nos abattages à l’explosif, les résultats recueillis dans nos nombreux points de mesure sont inférieurs aux valeurs limites prévues par la législation. Ceci dit, nous avons consenti ces dernières années beaucoup d’efforts afin de minimiser leur impact auprès des riverains. Nous avons pour cela réalisé des études scientifiques dont les conclusions ont été intégrées dans les mesures que nous avons adoptées. Ces dernières années, nous avons ainsi renoncé aux abattages de pans entiers, très onéreux, au profit de petites détonations de pans plus réduits.
Nous avons également complété notre parc machines par une fraise pour roches qui, à la différence des charges explosives, ne produit pas de secousses. Nous l’utilisons avant tout dans les zones d’abattage critiques.
Par cette mesure, que nous optimiserons dans le futur, nous avons déjà pu considérablement réduire nos émissions.
